Ce mardi 25 janvier, à l’occasion des 3 ans de l’effondrement du barrage de Brumadinho, au Brésil, des militant·e·x·s et candidat·e·x·s d’EàG se sont rassemblé·e·x·s devant le Département des finances, en solidarité avec les victimes et pour dénoncer le régime d’imposition extrêmement favorable dont bénéficie la multinationale dans le canton.
Le caractère criminel de cet « accident » n’est plus à démontrer : une enquête a prouvé que la rupture était due à l’utilisation d’une procédure de manutention interdite à l’international en raison de sa dangerosité. Trois ans plus tard, malgré les 270 mort·e·x·s et 6 disparu·e·x·s, la multinationale demeure impunie par les autorités brésiliennes, quand bien même celles-ci dis- posent de nombreux éléments lui permettant d’inculper la firme. Le crime de Brumadinho n’est pourtant pas le seul sur la liste de Vale. La rupture du barrage dans la ville de Mariana en novembre 2015, qui a ôté la vie de 19 personnes, est considérée comme l’une des pires catastrophes environnementales de ce siècle. Aujourd’hui encore, 344 familles brésiliennes attendent la reconstruction de leurs maisons détruites par la boue.
Vale coupable, l’État de Vaud complice!
Vale a largement bénéficié des exemptions fiscales offertes par l’État de Vaud, où se trouve son siège international. Grâce à une exonération fiscale totale durant les 10 premières années d’installation de Vale à Saint-Prex, la firme a pu épargner 3 milliards de francs suisses, qu’elle aurait dû verser à son pays d’origine. Depuis, Vale bénéficie confortablement des avantages du paradis fiscal vaudois. Une enquête récente de la RTS concernant la société ADM à Rolle a montré que l’État de Vaud continue à octroyer de très généreuses exemptions fiscales dans des conditions particulièrement opaques. En offrant des cadeaux fiscaux aux multinationales comme Vale, le canton de Vaud est complice de ces agissements et contribue à priver les collectivités publiques des pays à faible revenu et leur population de très importantes ressources fiscales.
Ensemble à Gauche témoigne toute sa solidarité avec les victimes de Brumadinho et leurs familles, et demande que justice soit faite !
Nous voulons la fin des allègements fiscaux pour des multinationales qui exploitent et tuent les êtres humains et qui détruisent l’environnement !
Manifester est un droit défendu par la cours européenne des droits de l’homme
Ensemble à gauche dénonce les trop fréquentes atteintes au droit de manifester dans le canton de Vaud: une demande d’autorisation déposée par notre coalition pour un rassemblement devant le siège de Vale ce 25 janvier a ainsi été refusée par la Commune et par la police cantonale. L’autorité se montre ainsi plus soucieuse de protéger l’image d’une multinationale que de garantir la liberté d’expression.
Alors que la cour européenne des droits de l’homme a déjà dénoncé les pratiques de la Suisse dans le traitement des mouvements militants et en particulier concernant le droit de manifester, nous continuons de trouver intolérable l’impunité avec laquelle certaines instances étatiques bafouent une liberté fondamentale des droits humains.
Tous nos communiques
14 03 2022
MENACE DE MORT CONTRE NOTRE CANDIDATE AU CONSEIL D’ÉTAT MATHILDE MARENDAZ
Samedi 12 mars au matin nous avons découvert, comme les passant·e·x·s du centre-ville lausannois plusieurs appels au meurtre de militant·e·x·s de gauche radicale accompagnés de croix celtiques (sigle néofasciste), dont un visant explicitement notre candidate au Conseil d’Etat vaudois, Mathilde Marendaz, ainsi que notre camarade et candidat POP au Grand Conseil Zakaria Dridi. Pour Ensemble à Gauche, de tels actes sont inacceptables et doivent être poursuivis, même s’il ne s’agit que de tags. La municipalité de Lausanne et le canton de Vaud ne doivent pas laisser ces actes impunis. C’est pourquoi une plainte pénale sera déposée rapidement par notre candidate.
Le tag de la place de la Louve est certes une menace personnelle dirigée notamment contre Mathilde Marendaz, et doit être combattue à ce titre. Mais il s’agit surtout d’une tentative d’intimidation des mouvements sociaux qu’elle incarne en tant que militante (notamment la ZAD de la colline du Mormont, la Grève du climat, la désobéissance civile écologique, etc.). Elle doit donc être combattue également en tant que menace pour l’ensemble de ces mouvements sociaux.
Nous observons depuis quelques mois une augmentation de la présence de signes et de messages d’extrême droite, fascistes voire carrément néonazis dans les rues lausannoises, notamment contre les militant·e·x·s de gauche radicale, des mouvement sociaux ou des milieux autonomes. Qu’il s’agisse du recouvrement de l’espace autogéré avec la même croix celtique, des multiples tags et stickers ou des croix gammées, cela doit impérativement cesser. Ces attaques nous rappellent une fois de plus l’importance, pour l‘ensemble des forces combatives de la gauche de la gauche de présenter un front uni. C’est la ligne qu’a toujours défendue Ensemble à Gauche et c’est celle que nous voulons réaffirmer aujourd’hui.
Ensemble à Gauche appelle toutes les forces démocratiques à condamner sans réserve les menaces de l’extrême-droite et affirme sa totale solidarité avec sa candidate Mathilde Marendaz, ainsi qu’avec l’ensemble des personnes, mouvements sociaux et organisations qui sont visé·e·x·s à travers eux. Nous ne nous laisserons pas intimider ! Nous appelons également les autorités agir contre les menaces de l’extrême droite.
02 03 2022
Protégeons le loup
soutenons les éleveur·euse·s
Le député d’Ensemble à gauche Hadrien Buclin a déposé mardi 1er mars une question dénonçant l’extension de la zone du tir du loup par la conseillère d’Etat verte Béatrice Métraux. Le Conseil d’État a en effet obtenu une forte extension de la zone où est autorisée le tir des jeunes loups par les gardes-faune.
Ensemble à Gauche déplore cette décision, regrettable du point de vue de la défense de cet animal qui fait partie intégrante de l’écosystème régional. Pour une politique résolument écologiste, nous pensons qu’il est essentiel de repenser notre rapport aux animaux sauvages.
En lieu et place de cette extension, demandée et obtenue par la conseillère d’Etat verte en fonction Béatrice Métraux, le gouvernement aurait pu se prononcer pour davantage de mesures de soutien aux éleveuses et éleveurs, qu’il s’agisse de soutien financier ou d’un renforcement du personnel mobilisé pour protéger les troupeaux.
Avec cette extension du droit de tirer le loup de la zone du Maraîchuz à d’autres zones autour de l’Isles et Arzier, Béatrice Métraux termine son mandat en mettant une nouvelle fois en lumière les contradictions qui existent entre le programme électoral défendu par les Vert·e·x·s et les politiques qu’iels appliquent une fois arrivé·e·x·s au gouvernement.
16 02 2022
Non à la guerre en Ukraine!
Ni Poutine ni OTAN!
Oui à l’auto-détermination des peuples!
Le régime de Vladimir Poutine a amassé plus de 100 000 soldats russes aux frontières de l’Ukraine. Les États-Unis et les États membres de l’OTAN acheminent de l’aide, expédient des armes et mobilisent des troupes pour préparer l’Ukraine à affronter les forces de Moscou. Les développements actuels sont graves et extrêmement dangereux pour la paix en Europe. L’annonce récente d’un « retrait partiel » de Moscou des frontières ukrainiennes ne remet pas en cause ce constat, car le calendrier et l’ampleur de ce « retrait » sont inconnus et la Russie poursuit en outre d’importantes manœuvres en Biélorussie, voisin de l’Ukraine jusqu’au 20 février.
Dans ce contexte, nous voulons affirmer notre opposition à la fois aux menaces d’invasions de la Russie et à ses ambitions impériales en Ukraine et au bellicisme de l’OTAN et de Washington de l’autre. Ces deux camps n’ont que des ambitions prédatrices et impérialistes.
Dans cette nouvelle phase de tension entre les États-Unis et la Russie, nous ne devons pas nous faire d’illusions sur le rôle des pays de l’Union Européenne (UE), qui ne sont pas un arbitre neutre et défendent leurs intérêts politiques et économiques. Le Conseil fédéral n’est pas différent dans son orientation politique en cherchant également à maintenir ses relations et intérêts économiques avec tous les acteurs.
Tous ces acteurs (La Russie, les États-Unis et l’UE) veulent transformer la région en une zone d’influence exclusive. Ainsi, en 2014, l’UE a proposé à l’Ukraine un partenariat (avec au menu prêts, privatisations, suppression de droits sociaux…). De son côté, la Russie a proposé d’annuler sa dette et des tarifs avantageux sur le gaz. Mais Bruxelles et Moscou exigeaient un accord exclusif à Kiev, ce qui n’a aucun sens pour l’Ukraine, dont les rapports commerciaux sont également répartis entre UE, Russie et reste du monde.
Notre opposition farouche à une guerre entre la Russie et l’OTAN menée par les États-Unis ne signifie pas notre indifférence à l’égard des droits et de la liberté des classes populaires ukrainiennes. L’Ukraine a été historiquement un pays opprimé par la Russie, tant sous le tsarisme que sous l’Union soviétique stalinienne. Washington espère exploiter cette histoire tragique à ses propres fins impériales.
Dans ce contexte, le mouvement solidaritéS demande un règlement pacifique de la crise qui reconnaisse le droit de l’Ukraine à l’autodétermination et protège les droits des minorités nationales du pays. Ni la Russie ni l’OTAN mené par les États-Unis ne défendront ces droits. Ces deux camps ne représentent en aucune manière une force de progrès. Leurs interventions ont au contraire renforcé et renforcent les forces de droite et d’extrême droite de tous bords, exacerbant et approfondissant les divisions nationales.
Le retrait des troupes russes des frontières ukrainiennes et des territoires occupés, et la fin de l’ingérence russe en Ukraine sont indispensable. De l’autre côté, la dissolution de l’OTAN est également une nécessité pour diminuer les tensions géopolitiques internationales.
Nous apportons notre soutien aux forces progressistes et démocratiques qui luttent pour la démocratie, la justice sociale et l’égalité en Ukraine, en construisant une solidarité internationale par en bas contre les menaces d’une invasion russe et de la guerre. Nous affirmons également notre solidarité avec les organisations et collectifs qui se mobilisent en Russie pour les droits démocratiques et sociaux et contre la guerre. Ils font l’objet d’une très forte répression du régime de Poutine.
Ces événements mettent en évidence la nécessité de construire un nouveau mouvement pacifiste à l’échelle internationale, pour donner aux peuples une voix différente de celles des États. Ces menaces de guerre profitent aux trusts de l’armement ; elles servent de justification pour augmenter les dépenses militaires partout dans le monde : un gaspillage monstrueux de ressources qu’il serait urgent d’investir pour répondre aux besoins sociaux et écologiques de la majorité de la population de la planète.
Face aux surenchères militaires qui accompagnent aujourd’hui les rapports de forces entre grandes puissances et qui sont lourdes de dangers, affirmons la solidarité internationaliste des classes populaires du monde entier contre toutes les formes d’impérialismes, d’exploitations et d’oppressions.
Nos destins sont liés.
10 02 2022
SUCCÈS D’ENSEMBLE À GAUCHE POUR L’EXTENSION DES DROITS POLITIQUES DES IMMIGRÉ·E·S
Une initiative constitutionnelle d’Ensemble à gauche qui vise à faciliter l’accès aux droits politiques des immigré-e-s au plan communal a été partiellement acceptée par une courte majorité du Grand Conseil vaudois. Grâce à cette décision, les droits politiques communaux seraient désormais obtenus après 5 ans de résidence en Suisse et 1 année dans le canton, contre respectivement 10 et 3 ans aujourd’hui. Comme il s’agit d’une modification de la Constitution cantonale, celle-ci devra encore être confirmée en votation populaire.
Cette amélioration permettrait une meilleure représentation politique de l’ensemble de la population au niveau communal. Aujourd’hui, près de 100’000 immigré-e-s vivant dans le canton de Vaud sont en effet privés des droits politiques communaux parce qu’iels ne remplissent pas le critère de respectivement 10 et 3 ans de résidence. Ce critère est extrêmement strict et anachronique au regard des nouvelles habitudes de mobilité qui se sont développées parmi la population.
Il s’agit de la deuxième extension des droits démocratiques qu’Ensemble à gauche parvient à obtenir au Grand Conseil vaudois en l’espace de quelques mois, la précédente portant sur le rétablissement des droits politiques de toutes les personnes en situation de handicap, qui devra aussi fait l’objet d’une confirmation en votation populaire. Ensemble à gauche appelle le Conseil d’Etat à agender rapidement ces deux votations.
Ensemble à gauche continuera à s’engager pour une extension des droits démocratiques, en souhaitant en particulier que ce récent succès au Grand Conseil permette de relancer le combat pour les droits politiques des immigré-e-s au niveau cantonal.
20 01 2022
Procès de la ZAD du Mormont: le procureur Cottier désavoué, Ensemble à Gauche demande sa démission
Dans le procès des militant·e·x·s de la colline du Mormont qui se tient à Nyon, le tribunal a refusé de suivre les peines totalement disproportionnées requises par le procureur, qui réclamait de la prison ferme contre plusieurs militant·e·x·s qui ont occupé la colline du Mormont. Le caractère disproportionné des peines réclamées, compte tenu du caractère pacifique de la mobilisation, avait été dénoncé tant par Amnesty International que par des expert·e·x·s de l’ONU.
Le Tribunal a dans son verdict lourdement désavoué le procureur. Ensemble à Gauche considère que le procureur, membre du PLR et élu par la majorité de droite du Grand Conseil, a conduit une procédure politiquement motivée, visant à intimider des militant·e·x·s écologiste·x·s. Une volonté que l’on a également vu à l’œuvre, entre autres, dans le procès des activiste·x·s ayant disputé une partie de tennis dans les locaux de Crédit Suisse.
Aujourd’hui, Ensemble à Gauche considère que le désaveu du tribunal ne permet plus au procureur d’assumer ses fonctions de manière crédible dans le contexte d’urgence climatique actuel et face à laquelle seuls les mouvements sociaux parviennent à agir à la hauteur de la situation. Nous demandons par conséquent sa démission et appelons le Grand Conseil à élire à ce poste une personne dont les priorités en matière de politique pénale ne consistent pas à intimider et à réprimer les mouvements sociaux.
17 03 2019
Élection complémentaire au Conseil d’Etat vaudois
La coalition Ensemble à Gauche Vaud (EàG) prend acte des résultats du 1er tour de l’élection complémentaire au Conseil d’État vaudois. EàG remercie les 5’983 (4.12%) électrices et électeurs du canton pour la confiance et le soutien qu’elles et ils ont apporté à son programme. Ensemble, les listes de la gauche radicale représentent la 3ème force électorale du canton. S’agissant du 2ème tour de cette élection, la coalition fera connaître sa position le mardi 19 mars au matin.
… Élection complémentaire au Conseil d’Etat vaudois08 03 2019
Ensemble, pour une gauche féministe et écologiste dans le Nord vaudois
Le 8 mars 2019, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, Solidarité & Ecologie (SE) et Ensemble à Gauche Vaud (EàG) ont organisé un point de presse à Yverdon-les-Bains. Tania Diaz, membre de SE et ancienne candidate à la Municipalité d’Yverdon, active dans le collectif pour la grève des femmes du 14 juin 2019, a présenté l’engagement féministe des membres d’EàG et leur soutien à ce mouvement. De son côté, Jean-Michel Dolivo, député et candidat d’EàG au Conseil d’Etat vaudois, a développé les propositions de transition écologique de la coalition, en lien avec la décision de la majorité du Conseil communal de la ville de construire un parking couvert sous la place d’Armes. SE et EàG ont annoncé leur soutien au projet de lancement d’un référendum contre ledit parking.
… Ensemble, pour une gauche féministe et écologiste dans le Nord vaudois06 03 2019
Vale doit indemniser les victimes de ses catastrophes
Aujourd’hui, des représentant·e·s des communautés touchées par le crime de la multinationale Vale à Brumadinho, dans l’État brésilien du Minais Gerais, venus spécialement du Brésil, ainsi que des réseaux de la société civile au niveau international et des collectifs de solidarité et mouvement politiques de suisses, se sont trouvés devant le siège de la multinationale Vale internationale pour un piquet de protestation. Ils et elles sont venu-e-s manifester leur solidarité avec les quelques 300 victimes du torrent de boues toxiques causé le 25 janvier par Vale. L’entreprise est responsable de ce désastre aux conséquences dramatiques, tant sur le plan humain qu’environnemental. Les politiques de dumping fiscal exercées par les autorités suisses et vaudoises pour attirer ce type d’entreprises participent également de ces responsabilités.
… Vale doit indemniser les victimes de ses catastrophes02 02 2019
Thanks Vale for choosing Switzerland.
Ici l’impôt heureux, là-bas les profits du sang et de la boue
A l’initiative d’Ensemble à Gauche (EàG), ce mercredi 30 janvier, à St Prex (Vaud) devant le siège de la multinationale Vale s’est tenu un piquet de protestation et de solidarité avec les victimes du torrent de boues toxiques qui s’est échappé vendredi 25 janvier d’un des treize barrages du complexe minier de Paraopeba, dans le l’Etat du Minas Gerais au Brésil. Vale est responsable de ce désastre aux conséquences dramatiques, tant sur le plan humain qu’environnemental. Les politiques de dumping fiscal exercées par les autorités suisses et vaudoises pour attirer ce type d’entreprises sur son sol son également en cause.
… Thanks Vale for choosing Switzerland.<br>Ici l’impôt heureux, là-bas les profits du sang et de la boue26 01 2019
ÉLECTION COMPLÉMENTAIRE DU 17 MARS 2019: ENSEMBLE À GAUCHE: NOS VIES ET LA PLANÈTE VALENT MIEUX QUE LEURS PROFITS
La coalition Ensemble à Gauche Vaud (EàG), composée des mouvements Décroissance-Alternatives, Solidarité&Écologie, solidaritéS Vaud ainsi que de personnes indépendantes, a déposé le 21 janvier 2019 au bureau électoral la candidature du député Jean-Michel Dolivo pour l’élection complémentaire au Conseil d’Etat vaudois. Aujourd’hui, EàG présente les premiers éléments de son matériel de campagne, en particulier l’affiche et le flyer qui sera distribué jusqu’au 17 mars. Ne comptant que sur des moyens financiers très limités, l’alliance peut en revanche s’appuyer sur le soutien de nombreuses femmes et hommes engagé·e·s et de personnalités qui ont signé un appel à voter pour son candidat. Toutes et tous ensemble, ils et elles portent les revendications des mouvements sociaux et proposent un changement radical de société, convaincu·e·s que « nos vies et la planète valent mieux que leurs profits ».
… ÉLECTION COMPLÉMENTAIRE DU 17 MARS 2019: ENSEMBLE À GAUCHE: NOS VIES ET LA PLANÈTE VALENT MIEUX QUE LEURS PROFITS06 12 2018
De la rue au gouvernement, Ensemble à Gauche présente la candidature de Jean-Michel Dolivo au Conseil d’Etat vaudois
L’élection complémentaire au gouvernement vaudois qui fera suite à la démission du conseiller d’Etat Pierre-Yves Maillard offre la possibilité d’un changement de cap dans la politique du gouvernement cantonal. Pour porter la voix de celles et ceux qui luttent pour une alternative écologiste, sociale et solidaire, féministe et contre toutes les formes de discrimination, Ensemble à Gauche (solidarités Vaud, Décroissance-Alternatives et Solidarité&Ecologie) présente la candidature du député d’EàG Jean-Michel Dolivo. Après sept ans de gouvernance libérale, le temps est venu de donner un cran d’arrêt au creusement des inégalités sociales et de mettre fin sans attendre à notre dépendance aux énergies fossiles et au nucléaire.
… De la rue au gouvernement, Ensemble à Gauche présente la candidature de Jean-Michel Dolivo au Conseil d’Etat vaudois